En 2058, le monde a changé. Les mentalités ont évolué dans le bon ou dans le mauvais sens, la technologie est beaucoup plus performante, les conditions de vies sont différentes de celles actuelles mais… Qu’est-ce qui a changé exactement ?

Si au Japon ou en Corée du Sud l’homophobie est toujours aussi virulente, ce n’est pas la même chose sur Aikoyangi. En effet, bien qu’il y ait des homophobes sur l’île, ceux-ci sont beaucoup moins nombreux que dans les autres pays d’Asie mais ils peuvent se montrer très violents.
Par ailleurs, ayant connaissance de la pudeur asiatique, les couples homosexuels seront comme beaucoup de couples hétérosexuels. Ils éviteront de se rouler des pelles en pleines rues, se tiendront peu la main et ceux d’origines japonaises ou coréennes ne connaissant pas la mentalité aikoyangienne pourront être bien plus réservés que les autres.

Retenez donc ceci, l’ouverture d’esprit est bien plus présente sur Aikoyangi qu’ailleurs en Asie mais la pudeur reste très importante dans ce pays.

Peu d’endroits sans réseaux, la 4G a été remplacée par quelque chose de beaucoup plus rapide à l’image de la fibre optique. Les problèmes de chargement ? Cela n’existe plus. Les clés usb, les disques durs ne tombent presque plus en panne et la sécurité informatique est désormais très performante. Les virus ont leurs remèdes, le cloud est bien meilleur qu’avant et les smartphones ont de multiples usages. Ils permettent de faire des paiements, de vérifier que le chat a tout ce qu’il faut pour manger ou boire, d’organiser des voyages, de préparer vos repas du soir… Bref, de vrais bijoux informatiques.
Les voitures quant à elles s’automatisent de plus en plus mais les concessionnaires restent adeptes des boîtes manuelles et personne n’échappe au passage du permis de conduire.
En ce qui concernent les logements, les portes fonctionnent désormais principalement par codes ou par cartes mais les adeptes des temps anciens préféreront garder leur trousseau de clé. Chacun ses préférences.

Les conditions de vie sur Aikoyangi sont assez agréables. En effet, bien que tout le monde n’ait pas de travail ou pas d’argent, les institutions font en sorte de trouver quelque chose pour que chacun puisse s’épanouir. Cela peut passer aussi bien par des aides pour monter son entreprise que par des boulots dénichés par-ci par-là. Ceux qui ne trouvent pas sont ceux qui ne cherchent pas.
Les prix des aliments sont souvent très abordables et ce n’est pas comme en Corée ou au Japon où il faut débourser une somme monstre pour acheter des légumes, des fruits, ou certaines viandes. L’eau est accessible à tous, au même titre que l’électricité. Cette dernière n’est pas payante directement puisqu’elle se fait lorsque les habitants payent leur taxe.

Quant aux logements, beaucoup d’entre eux sont équipés de climatiseurs, de robots ménagers et de matériels très high-tech. Laissez votre imagination faire son œuvre… Dans les limites du raisonnable cela dit.

Que ce soit au Japon, en Corée ou sur Aikoyangi, la réussite est une chose très importante ! Les professeurs poussent toujours les élèves à fournir le meilleur d’eux-mêmes, ils font toujours de gros horaires avec des cours du soir et les examens sont toujours très compliqués. Les taux de suicides restent plutôt élevés bien qu’ils aient baissé depuis le temps.
En Asie, les enfants commencent vers l’âge de 3 ans et la scolarité se déroule ainsi :

La maternelle : se déroule en trois ans, n’est pas obligatoire, va de la petite à la grande section.
L’école élémentaire : il y a cinq niveaux et commence à l’âge de 6 ans.
Le collège : il y a quatre niveaux.
Le lycée : il y a trois niveaux, contrairement à la France, il n’existe pas de spécialisation lettres, sciences, économies. Tout le monde a la même enseigne.
L’université : la licence s’obtient en 4 ans, le master en 2 ans et le doctorat en 3 ans.

Que ce soit au collège, au lycée, ou à l’université, il existe de nombreuses options, de nombreux clubs qui permettent aux étudiants d’être beaucoup moins stressés par leurs études, par leur avenir