Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
Sujet: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Mer 4 Oct - 20:34
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
la boulet attitude est en toi !
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Tenue Il y avait une sensation pire que les autres : la faim. Ce syndrome provoquait de nombreux troubles chez l’individu touché connu par tous. Les frissons, le ralentissement psycho-moteur, les nausées, étaient autant de syndromes synonyme de cette sensation. Ils faisaient pourtant partit du quotidien d’Itô Mariko, une adorable adolescente de 18 ans, aussi gérante de sa propre boutique de cosmétique. C’est principalement à cause de cette dernière qu’elle avait perdu l’habitude manger le midi. Manger, c’était perdre du temps. Le temps, c’était de l’argent. Enfin, l'argent, c’était bien. Cela permettait de payer les loyers, les factures, les nouilles achetés au supermarchés le soir, les fournitures pour sa boutique, et tellement d’autres choses que Mariko oubliait actuellement.
Il était midi et demi et la petite tête blonde se dirigeait vers le sympathique quartier d’Osanju. Une cliente attendait sa livraison là-bas. Animé par la volonté de livrer cette commande le plus vite possible, la blondinette négligea comme d’habitude de manger correctement. A vrai dire, après les déjeuner, les petits-déjeuner était maintenant eux aussi négliger. Au détour d’une rue, son champ de vision s’assombrit. Sa main lâcha son petit sac en papier contenant la fameuse commande. Cette dernière roula parterre mais sur le coup, Riko eut d’autres choses à se préoccuper. Ses pieds avaient lâcher. Avant même que Riko puisse comprendre ce qu’il se passait, elle se retrouva parterre. Mariko avait encore fait un malaise.
Etendu parterre, l'adolescente essaya de se relever avant de s’étendre une nouvelle fois parterre. Pour se sortir de cette situation, la bonté d’une âme charitable ne sera pas de refus. Cela tombait bien, il y avait une ombre au sol juste à côté d'elle.
''- Hum… désolé mais tu peux me relever ?''
Sookie l'aurait tuer si il avait entendu sa cousine oubliait la politesse. Il était persuadé qu'elle avait prise des mauvaises habitudes depuis qu'elle vivait avec lui et que c'était de sa faute. Son cousin ne changerait jamais complètement.
''- S'il te plaaaaaaaaait ?''
Sookie serait heureux. Encore mieux, il serait fière d'elle.
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Itô Mariko
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伊藤まりこ
Itô Mariko
(19 ans)
Issu de l'union d'une mère coréenne et d'un père japonais, Mariko est bilingue dans ses deux langues. Elle a vécu avec ses parents jusqu'à l'âge de 15 ans dans la ville de Nara. Tout à changé quand ses parents ont choisis de déménager dans une nouvelle ville. Mariko a eu du mal à s'intégrer et a été très longtemps la cible de brimade de ses camarades de classes. La haine a fini par prendre possession de son corps. Jour après jour, le même plan revenait dans sa tête. Jour après jour, elle rêvait de le mettre en exécution.
Le 15 octobre 2055, la Kenpai tower, symbole de sa nouvelle ville, a explosé sous l'effet d'explosif posé à l'extrémité des points d'encrages du bâtiment. Le bilan final de l'accident était de 140 morts et de 230 blessés. Parmi ses personnes, 200 étaient élèves dans le lycée de Mariko. Mariko étant mineur, le gouvernement japonais n'a pu révéler qui était l'auteur de l'attentat. Les autorités ne pouvait prendre des mesures contre elle du fait de son âge, l'ont envoyés sur l'île d'Aikoyangi. Elle a reçu là-bas le célèbre sérum.
A partir de ce moment, elle a cru être une nouvelle élève ayant bénéficier d'une bourse pour ses études. Tout à changer à la fin du mois de novembre 2056. Sa classe a eu une activité dans un laboratoire avec des produits ayant des propriétés explosifs. En les manipulants, Mariko s'est souvenu de nombreuses choses. Par son inattention, elle les a mélangé et a à créer une explosion au sein de sa salle. Il n'y a eu heureusement aucun blessé mais Mariko a été suspendu de l'établissement et de l'internat. Elle se retrouve aujourd'hui à la rue.
Si vous voulez soutenir l'économie de Kyul, passez donc dans sa petite boutique en plein coeur de Kona ! Située dans un petit local, cette boutique nommé en hommage à l'amitié qu'elle entretient avec son cousin 'Rookie&Siko' est remplie de tous les produits nécessaires à votre bien-être ! Si vous souhaitez des commandes plus obscures, merci de vous adresser par téléphone à la gérante.
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Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Lun 23 Oct - 22:24
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
Hae Ri se retenait de chanter de justesse, ses lèvres formant les paroles de Glorious de Macklemore qu’elle se passait en boucle depuis sa sortie. Même lorsqu’elle corrigeait des copies ou travaillait au café, elle avait la chanson dans la tête, la fredonnant parfois. Elle allait bien, en ce moment, elle avait passé avec succès son examen de titularisation et voyait enfin le bout du tunnel. La prochaine rentrée, elle aurait sa propre classe au lycée de Kyul, elle quitterait le café et tout irait mieux. Elle allait aller mieux. Elle pourrait même, peut-être, oser demander à Ah Yeon un rendez-vous, l’emmener dans un endroit chouette, lui prendre la main et lui sourire, naturellement. Peut-être. Elle en avait envie. Elle ne comprenait pas trop pourquoi, mais elle avait envie de faire tout ça, avec la belle infirmière. Un sourire étira les lèvres de la jeune professeure alors qu’elle rentrait chez elle après avoir fini son service au café. La matinée s’était bien passée, elle avait eu pas mal de pourboires et il faisait beau. La journée ne pouvait qu’être encore plus fabuleuse. Cependant, alors qu’elle passait une ruelle, elle vit, du coin de l’œil, quelque chose tomber. Surprise, elle s’arrêta et tourna la tête, ses yeux s’écarquillant en voyant la jeune femme allongée sur le sol. Ne pouvant retenir un bruit horrifié, elle se précipita vers l’inconnue, s’agenouillant près d’elle en l’entendant parler. « Vous allez bien ? Est-ce que vous m’entendez ? » Relevant la tête, Hae Ri chercha du regard quelqu’un pour l’aider mais… Il n’y avait personne. Prenant son sac et arrachant presque ses écouteurs, la jeune femme fourra portable et écouteurs dedans avant de récupérer un élastique, attachant rapidement ses cheveux en un chignon très négligé. Mais ils lui tombaient dans les yeux et elle avait besoin de bien voir. « Est-ce que vous pouvez me dire quel jour on est, aujourd’hui ? » Se rapprochant un peu plus, la jeune professeure saisit le poignet le plus proche de l’inconnue, deux doigts se posant sur l’artère au niveau de son poignet. Et, après avoir dégagé sa montre, elle compta. Pouls plutôt faible mais pas inquiétant. Heureusement qu’elle avait eu des cours de premiers secours, pour sa formation de professeure… Se souvenant alors de la première question de l’inconnue, Hae Ri croisa à nouveau son regard, souriant et dégageant une mèche de cheveux qui était tombée devant ses yeux. « Il vaut peut-être mieux éviter que tu te lèves tout de suite, mais je peux t’aider à t’asseoir, ça devrait aller mieux, après. » Elle était passée au tutoiement sans réfléchir, remarquant combien l’inconnue semblait plus jeune. Était-elle au moins majeure… ? Ne voulant pas poser la question tout de suite, elle se redressa et aida la jeune fille à s’asseoir, l’appuyant contre un mur. Récupérant son gilet abandonné dans son sac à dos, Hae Ri le roula pour le glisser derrière la tête de l’inconnue, lui souriant à nouveau en recroisant son regard. « Tu te sens mieux ? Je m’appelle Kim Hae Ri, et toi ? »
Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Jeu 26 Oct - 19:45
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
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Tenue Une femme se précipita vers elle, semblant choqué de la voir en cours une fusion réunissante une blondinette et l'asphalte. Mariko pouvait comprendre. Elle aurait surement été elle-aussi surprise, puis elle aurait admiré la fusion en prenant des notes. Cela aurait pu toujours servir. Une fusion entre la chaire humaine et l’asphalte composé à 70 % de bitume était-elle possible ? Perdu dans des pensées, on la releva et la positionna confortablement contre le mur non loin de là. Ses paupières clignèrent plusieurs fois. On lui parlait. C’était le moment de régir.
‘‘- Les pandas ne sont fertiles que deux jours par an ! Le saviez-vous ?’’
Son interlocutrice, Hae Ri, si elle avait bien compris, la regarda surprise. Visiblement ce n’était pas la réponse qu’elle attendait.
‘‘- Oh, merci de m’avoir ramassé ! J’ai cru que personne le ferait ! C’est fou comment les gens sont malpolis et égoïstes sur cette île. Enfin, c’est pas qu’ils sont égoïste mais c’est qui pense qu’a leur petite personne …. enfin, bon ça ressemble quand même à 89 % à de l’égoïsme. Je dirais même à 90 % mais j’ai peur que l’arrondie à la valeur supérieur fausse le résultat. Une fois j’ai perdu deux points à un contrôle de Maths à cause de ça, deux points ! J’ai failli arracher la perruque de mon prof. Evidement, je ne l’ai pas fait. J’avais peur qu’il m’enlève plus de point sur mon devoir, mais avec le recul et la maturité que j’ai maintenant, je pense que j’aurais du le faire. Non parce que j’ai toujours était sage et cela ne m’a jamais rien rapporter de bon. Enfin bien sûr, faut pas que je dise ça devant Lily. Elle risque de prendre exemple sur moi, et après je vais devoir me supporter les sermons de son frère. Déjà qu’il me regarde de façon étrange quand je viens chez elle. Moi, personnellement, il me fait peur. On dirait un requin ! Quand je franchis la porte de chez elle, j’ai la musique des dents de la mer. Et pile au moment où le requin doit arriver, pof ! MAEDA Ryosuke en personne pour vous servir ! Y’a de quoi avoir peur, non ? ’’
Maintenant qu’elle était un peu sortie de sa tentative de fusion par le dialogue et la compréhension mutuelle, Mariko se souvenait d’une information relativement importante.
‘‘- J’ai faim. Etait-il même possible d’avoir aussi faim ? Oh Mon Potassium ! Vous auriez un truc à manger ? Si vous voulez, je peux l’échanger contre un paquet de serviette, ou une bombe au poivre, ou bien … oh ! Et un dvd de Ghostbuster !’’
Qu’est ce que cela pouvait bien faire dans son sac ? Son cousin avait du encore fait tomber du bazar maintenu en équilibre précaire sur le meuble tv, dans son sac souvent posé en contrebas.
‘‘- Oh ! Et je m’appelle ITÔ Mariko ! Enchanté’’
Généralement, elle aimait bien se présenter sous les termes d’ITÔ Mariko, l'adolescente dont le nom de famille est ‘‘mito’’ mais sans le ‘m’et dont le prénom est comme ‘‘Haricot’’ avec un ‘‘m’’, mais aujourd’hui elle se sentait peu bavarde. Surement le sentiment de faim !
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Spoiler:
Si tu te posais la question, oui Mariko est TOUJOURS comme ça, je dis bien TOUJOURS ! Si la réponse te gène par le volume de parole, ou la comparaison de Ryosuke avec un requin (j'ai tellement ris en écrivant ce passage avec la musique du film) ou parce que voilà, n'hésite pas
Itô Mariko
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Issu de l'union d'une mère coréenne et d'un père japonais, Mariko est bilingue dans ses deux langues. Elle a vécu avec ses parents jusqu'à l'âge de 15 ans dans la ville de Nara. Tout à changé quand ses parents ont choisis de déménager dans une nouvelle ville. Mariko a eu du mal à s'intégrer et a été très longtemps la cible de brimade de ses camarades de classes. La haine a fini par prendre possession de son corps. Jour après jour, le même plan revenait dans sa tête. Jour après jour, elle rêvait de le mettre en exécution.
Le 15 octobre 2055, la Kenpai tower, symbole de sa nouvelle ville, a explosé sous l'effet d'explosif posé à l'extrémité des points d'encrages du bâtiment. Le bilan final de l'accident était de 140 morts et de 230 blessés. Parmi ses personnes, 200 étaient élèves dans le lycée de Mariko. Mariko étant mineur, le gouvernement japonais n'a pu révéler qui était l'auteur de l'attentat. Les autorités ne pouvait prendre des mesures contre elle du fait de son âge, l'ont envoyés sur l'île d'Aikoyangi. Elle a reçu là-bas le célèbre sérum.
A partir de ce moment, elle a cru être une nouvelle élève ayant bénéficier d'une bourse pour ses études. Tout à changer à la fin du mois de novembre 2056. Sa classe a eu une activité dans un laboratoire avec des produits ayant des propriétés explosifs. En les manipulants, Mariko s'est souvenu de nombreuses choses. Par son inattention, elle les a mélangé et a à créer une explosion au sein de sa salle. Il n'y a eu heureusement aucun blessé mais Mariko a été suspendu de l'établissement et de l'internat. Elle se retrouve aujourd'hui à la rue.
Si vous voulez soutenir l'économie de Kyul, passez donc dans sa petite boutique en plein coeur de Kona ! Située dans un petit local, cette boutique nommé en hommage à l'amitié qu'elle entretient avec son cousin 'Rookie&Siko' est remplie de tous les produits nécessaires à votre bien-être ! Si vous souhaitez des commandes plus obscures, merci de vous adresser par téléphone à la gérante.
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Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Sam 28 Oct - 18:26
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
Hae Ri s’était retrouvée à aider une inconnue, inconsciente à terre. Bon, elle avait vite repris connaissance mais la jeune professeure avait peur pour elle et essayait de la garder éveillée, lui parlant. Cependant, après s’être présentée, elle se rendit compte combien, potentiellement, son interlocutrice était… spéciale. Elle venait d’apprendre une chose sur les pandas qu’elle ne savait pas. Ne pouvant s’empêcher de réagir – même si surprise, la jeune femme marmonna : « Ça explique pourquoi ils sont en voie de disparition… » Très vite, l’inconnue se mit à raconter tout et n’importe quoi, parlant d’une Lily et d’un Ryosuke que Hae Ri ne connaissaient ni d’Eve ni d’Adam mais qui semblaient être proches de la jeune fille. Se mordant la lèvre inférieure pour ne pas rire, elle attendit patiemment que la fille devant elle ait fini de parler. Ce qui semblait être plutôt long. Cependant, lorsque la jeune fille demanda si elle avait à manger, Hae Ri récupéra son sac qu’elle ouvrit, sortant le sac de pâtisseries qu’elle avait emportées du café, au moment même où la jeune fille – Mariko – se présentait. « Je n’ai pas grand-chose mais tiens, des pains au chocolat. Ils viennent de sortir du four, je les ai récupéré à mon travail, régale-toi. Par contre, je n’ai ni eau ni autre boisson mais, si tu veux, il y a un café juste à côté, je peux aller te chercher quelque chose de bien sucré comme… Du jus de pomme ou bien un smoothie, qu’en penses-tu ? » Souriant à Mariko, elle lui fourra le petit sachet avec les deux viennoiseries qu’elle avait prises. Elle aimait bien en prendre en partant, de temps en temps, pour se faire un goûter ou agrémenter son petit-déjeuner du lendemain. Mais les donner à une inconnue qui en avait cruellement besoin semblait être beaucoup mieux. « Et je n’ai pas besoin de quelque chose en retour, ne t’inquiète pas. Contente-toi de les manger mais lentement, il ne faudrait pas que tu aies une indigestion en plus du reste… » Soupirant, Hae Ri s’installa un peu mieux par terre, face à Mariko. Elle avait souvent eu affaire à ce genre de cas, au lycée, surtout avec de jeunes lycéennes qui semblaient penser qu’elles n’étaient jamais suffisamment maigres. Au début, cela faisait se remettre en question la jeune femme mais elle avait très vite compris que son corps était normal et très bien ainsi, alors elle s’en contentait. Et faisait tout pour aider les jeunes adolescentes. D’ailleurs… « Est-ce que je peux te demander quel âge tu as… ? On dirait que tu as l’âge d’être au lycée… En tout cas, tu sembles avoir le même âge que mes élèves. » Elle souriait toujours, afin de détendre l’atmosphère et ne pas inquiéter la jeune fille. Elle ne semblait pas aller bien et, si jamais elle pouvait être utile, Hae Ri voulait l’aider. Personne ne l’avait aidée quand elle en avait eu besoin, elle.
Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Lun 30 Oct - 1:04
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
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Tenue Son interlocutrice, aussi appelé Hae Ri, également appelé Ange suprême venu la pauvre Mariko, venait de tendre un paquet rempli de pâtisserie. La blonde eut un premier regard vers le paquet puis fixa le visage de l’Ange, pour finalement revenir au paquet de pâtisseries. Ce jour est-il arrivé ? Mariko était morte et on l'accueillait enfin au paradis ? Mariko se décida a finalement se jeter sur le paquet. Elle n’avait jamais manger de ça avant, mais c’était plutôt bon. A vrai dire, elle avait eu quelques difficultés à apprécier le goût du produit. L’ange parla d’aller lui chercher à boire. Mariko fut trop occuper à ne pas s’étouffer avec les pains aux chocolats pour lui répondre. Les deux viennoiseries furent gober en l’espace de quelques secondes, Mariko eut un léger haut le coeur mais rien de bien grave.
‘‘- Madame l’Ange … Merci ! Je ne vous oublierais jamais ...’’
Etrangement cela lui rappelait une vieille chanson. En attendant, Mariko renifla une larme qui voulait partir. La petite avait pas l’habitude qu’on soit aussi gentil avec elle. Cette fameuse et incroyable Hae Ri n’était qu’une connaissance faite depuis près de six minutes et trente-cinq secondes selon l’horloge de son téléphone.
‘‘- J’ai 18 ans, madame ! Et toutes mes dents ! A vrai dire, j’étais une étudiante d’échange japonnaise qui suivais des cours au sein de lycée Moore, il y’a encore quelques mois. Malheureusement un regrettable …’’
Mariko allait continuer quand la mention du mot élève la refroidit. Son interlocutrice semblait enseigner. Elle ne pouvait pas lui dire qu’elle avait été renvoyé de son lycée après avoir fait exploser le laboratoire de ce dernier, si ? Elle décevrait Hae Ri, et elle ne voulait pas ça.
‘‘- … un regrettable problème de procédure administrative m’a suspendu ma bourse d’étude, m'empêchant aujourd’hui de suivre les cours ! Je suis vraiment désespéré madame ! Faute de cette bourse, on m’a renvoyé de l’internat et mise à la rue alors que je connaissais personne ici ! C’est horrible … les gens sont si horrible ici.’’
Sauf visiblement, Hae Ri l’ange venu d’un autre monde qui avait été la seule à s’arrêter pour l’aider et lui porter secours. Mariko se promit de ne jamais, ô grand jamais l’oublier.
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Le 15 octobre 2055, la Kenpai tower, symbole de sa nouvelle ville, a explosé sous l'effet d'explosif posé à l'extrémité des points d'encrages du bâtiment. Le bilan final de l'accident était de 140 morts et de 230 blessés. Parmi ses personnes, 200 étaient élèves dans le lycée de Mariko. Mariko étant mineur, le gouvernement japonais n'a pu révéler qui était l'auteur de l'attentat. Les autorités ne pouvait prendre des mesures contre elle du fait de son âge, l'ont envoyés sur l'île d'Aikoyangi. Elle a reçu là-bas le célèbre sérum.
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Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Lun 30 Oct - 22:39
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
Hae Ri avait été généreuse, aujourd’hui, aidant sans réfléchir une jeune fille inconsciente à terre, lui donnant à manger et cherchant à en apprendre plus sur elle. Souriant en la regardant manger, la jeune professeure caressa doucement ses cheveux, soupirant en la voyant littéralement engloutir les pains au chocolat. Elle lui avait dit de faire attention à ne pas avoir une indigestion, après, mais bon… Elle devait vraiment avoir faim. Elle rit à nouveau en entendant la jeune fille l’appeler un ange. Si seulement elle savait… Si elle savait que l’ange qu’elle pensait avoir devant elle avait attenté à sa vie, qu’elle avait failli tout abandonner devant l’échec, qu’elle se sentait presque toujours seule et abandonnée… Peut-être ne la verrait-elle plus pareil… Mais Hae Ri ne dit rien, ne fit pas de remarques, même si son sourire se figea, ainsi que sa main dans les cheveux de la jeune fille. Retirant sa main, la jeune femme se força à écouter son interlocutrice, haussant les sourcils de surprise en apprenant qu’elle était effectivement jeune et qu’elle avait dû quitter le lycée de manière pour le moins… Inattendue, apparemment. La suite de son explication fit froncer les sourcils de la jeune professeure lorsqu’elle apprit que la jeune fille s’était retrouvée à la rue. « Attends. Comment ça tu t’es retrouvée à la rue ? Et tu vis où, maintenant ? Tu n’as pas demandé de l’aide au lycée ? » Fouillant sa mémoire, Hae Ri ne parvenait pas à trouver qui pouvait bien être la jeune fille… « Comment t’appelles-tu ? » Elle n’avait pas entendu parler d’une histoire comme ça mais elle était déterminée à aller en parler avec la principale, la prochaine fois qu’elle la verrait. Ce genre de chose était tout à fait inacceptable !
Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Mer 1 Nov - 18:18
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Tenue Peut être que son interlocutrice-ange avait un début d’Alzheimer ? Elle était pourtant sur de lui avoir dit son nom quelques minutes plus tôt. Cette faille pourrait jouer à son avantage et ce n’était pas pour déplaire à Mariko. Si son interlocutrice était enseignante, qui plus est en lycée, elle a surement du entendre parler du léger incident c’étant passer en laboratoire, un an auparavant. Si elle apprenait la vérité, elle serait vraiment déçu par l'adolescente, et cette dernière ne voulait vraiment pas ça.
‘‘- Je ne me suis pas présenter ? Quelle malpolie, je fais ! Je m'appelle MAEDA Lily ! Enchanté !’’
Lily lui pardonnera. De toute façon, elle finirait bien par lui pardonner. Au pire du pire, elle lui ferai la tête pendant un certain temps. L'adolescente a la chevelure rose lui avait déjà réservé un tel traitement et Mariko savait très bien que cela ne serait pas la dernière fois. Mariko irait la supplier et lui ferait la promesse d’aller parler avec son requin de frère. Bon, maintenant il fallait continuer dans le chemin qu’elle avait prit.
‘‘- Les frais de scolarité sont vraiment énormes, vous savez ? Sans une bourse, c’est difficile de pouvoir les payer. C’est malheureusement ce qui est arrivé. Mon lycée a bien voulu temporiser mais quand le nombre de paiement est devenu trop important, ils m’ont demander de partir.’’
Mariko eut un long soupir avant de feindre une larme qu’elle esuya rapidement en retrouvant le sourire.
‘‘- Alors que je vagabondé seule dans un parc, on m’a volé ma valise. Heureusement, mon incroyable cou…’’
Sauf que Lily n’avait pas de cousin.
‘‘- … et courageux frère est sortit d’un buisson pour courser ce criminel. J’ai pu récupéré ma valise et même mon frère que je n’avais pas vu depuis près de cinq ans. Il m’avait tellement manqué avec euh … son regard de poisson frit et euh … sa sévérité exceptionnelle digne d’une pince de crabe.’’
Lily serait surement heureuse de l’entendre dresser un portrait aussi glorieux de son frère. Ciel, en l’espace de cinq minutes, elle l’avait comparés à un requin, à un poisson frit et à une pince de crabe. Lily la tuerait si elle l’apprenait. Son amie tenait beaucoup trop à son frère pour son propre bien. Cette dernière devrait par ailleurs aller consulter pour son brother’ complex.
‘‘- Mais vous inquiétez pas madame ! Tout va mieux maintenant !’’
Mariko était passé au travers de pas mal d’épreuve, mais toujours la tête haute.
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Le 15 octobre 2055, la Kenpai tower, symbole de sa nouvelle ville, a explosé sous l'effet d'explosif posé à l'extrémité des points d'encrages du bâtiment. Le bilan final de l'accident était de 140 morts et de 230 blessés. Parmi ses personnes, 200 étaient élèves dans le lycée de Mariko. Mariko étant mineur, le gouvernement japonais n'a pu révéler qui était l'auteur de l'attentat. Les autorités ne pouvait prendre des mesures contre elle du fait de son âge, l'ont envoyés sur l'île d'Aikoyangi. Elle a reçu là-bas le célèbre sérum.
A partir de ce moment, elle a cru être une nouvelle élève ayant bénéficier d'une bourse pour ses études. Tout à changer à la fin du mois de novembre 2056. Sa classe a eu une activité dans un laboratoire avec des produits ayant des propriétés explosifs. En les manipulants, Mariko s'est souvenu de nombreuses choses. Par son inattention, elle les a mélangé et a à créer une explosion au sein de sa salle. Il n'y a eu heureusement aucun blessé mais Mariko a été suspendu de l'établissement et de l'internat. Elle se retrouve aujourd'hui à la rue.
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Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Ven 3 Nov - 10:42
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
Hae Ri avait redemandé le nom de la jeune fille et c’est en entendant la réponse que la jeune professeure comprit qu’il y avait un truc qui clochait. Quelques petites secondes plus tard, elle avait trouvé. Mariko avait soudainement changé de nom. Préférant ne pas relever ce changement – c’était de sa faute, après tout, elle n’avait qu’à pas redemander – elle sourit à la jeune fille. Tout en cherchant frénétiquement dans sa mémoire pourquoi cette modification. Et, surtout, ce qui avait bien pu arriver à Mariko pour qu’elle… Hae Ri se souvint. C’était l’année dernière, le laboratoire avait explosé et l’élève responsable avait été renvoyée. Une élève japonaise. Son prénom, elle ne l’avait pas retenu. Mais le nom de famille lui revint : Itô. Sans réfléchir, la jeune professeure se remit à doucement caresser les cheveux de la plus jeune. Elle comprenait mieux, maintenant. Sans faire de commentaires ou la corriger, Hae Ri écouta les ‘‘explications’’ de Mariko. Elle savait très bien combien faire des études coûtait cher mais elle ne pouvait malheureusement rien y faire. Elle essayait d’aider quand elle le pouvait mais elle restait les mains menottées lorsqu’il s’agissait de vraie éducation. Elle pouvait donner des cours de littérature sans problème, mais des maths, de la chimie ou quoique ce soit… Légèrement dans ses pensées, Hae Ri ne revint sur terre qu’en voyant Mariko essuyer sa joue. Souriant toujours, elle reprit le mouvement de sa main sur son cuir chevelu, appréciant la douceur des cheveux. Elle rit même en entendant la description dudit frère. Peut-être cette Lily et Mariko étaient amies, ce qui expliquerait les détails. En tout cas, Hae Ri était sûre de ne jamais avoir donné de cours à l’une comme à l’autre. Ce n’était qu’à partir de la rentrée prochaine qu’elle enseignerait à tous les niveaux. Lorsque la jeune fille eut fini, la professeure ne put s’empêcher de soupirer : « S’il te plaît, ne m’appelle pas ‘‘madame’’, je suis à peine plus âgée que toi ! Je n’ai que 25 ans, après tout ! » Bon, elle en aurait prochainement 26, mais c‘était un détail. Abandonnant le crâne de Mariko, Hae Ri attacha ses cheveux en un rapide chignon, la chaleur commençant à s’incruster sous sa peau. « Et je m’inquiète moins, tu as l’air entre de bonnes mains. Même si tu as peut-être fait certaines mauvaises choses ou que tu as certains… accidents, avant, il est important de toujours avancer. C’est en trébuchant sur le chemin de notre vie qu’on fait plus attention et qu’on tombe moins ! » On devait sentir son côté professeure de littérature, là… En tout cas, c’était le plus proche qu’elle serait d’admettre qu’elle avait compris le problème avec l’identité de Mariko. Si cette dernière voulait la cacher, elle devait avoir une bonne raison et Hae Ri n’avait aucun droit pour l’obliger à se corriger. « Au fait, je suis désolée de ne pas me souvenir de toi. Je suis professeure de littérature mais jusqu’à la fin de cette année scolaire, j’étais à mi-temps et je ne m’occupais que d’un seul niveau par an, du coup j’ai sûrement dû te rater, et de peu… C’est dommage je suis sûre que ça aurait été intéressant d’avoir ton point de vue sur certaines œuvres, tu as l’air d’avoir un cerveau pour le moins particulier… Mais ça ne rend les choses que plus intéressantes, si tu veux mon avis ! » Elle rit doucement avant d’aviser le sac tomber par terre, se relevant pour rassembler ce qui en était sorti. Des cosmétiques. « Ton sac a dû tomber mais ça m’a l’air intact. » Hae Ri ne se maquillait jamais beaucoup, c’était toujours plutôt léger. Elle n’avait généralement ni la foi ni la patience de beaucoup se maquiller. Mais elle voyait quand même qu’il s’agissait de cosmétiques de bonne qualité. « Wow, tu as acheté ça où ? Ça m’a l’air cher… »
Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Jeu 16 Nov - 0:06
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
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Tenue La professeure ne sembla rien remarquer à la double identité de Mariko pour son plus grand bonheur, et continua à caresser les cheveux de la blonde. A ce rythme, elle pourrait se reconvertir en masseuse professionnelle. Peut-être était-ce son passe temps ? Mariko ne se risquerait jamais à lui demander ! La petite parole sermonnante tenu par la professeure de littérature sur les incidents de la vie eut l’effet de refroidir quelques peu la blonde. Les incidents, Mariko connaissait bien ça. Le problème c’était que c’était plus elle qui faisait trébucher les autres que l’inverse. Hae Ri finit cependant par se relever après s’être fait un rapide chignon. Il était temps pour Mariko de faire de même maintenant son malaise surpassé.
‘‘- Oh, je n’aurais surement pas été très présente à votre cours ma...madame-qui-n’est-pas-une-madame. La littérature n’a jamais eu assez d’action selon moi, pas vraiment mon truc en gros. J’aurais surement déçu inconsciemment vos espoirs !’’
La professeure pendant ce temps s'occupa du sac en papier de cosmétique qui s’était effondré en même temps que Mariko sur le sol chaud de l’asphalte. Mariko la remercia plusieurs fois en s’inclinant avant de récupérer sa précieuse commande. Par ailleurs, sa cliente devait de demander pourquoi elle mettait autant de temps à arriver. Si elle avait été pressé, elle aurait du passer à al boutique plutôt que d'opter pour une livraison ! De toute façon, les clients ne sont jamais contents.
‘‘- Non, c’est une livraison pour Rookie&Siko ! C’est le magasin où je travaille ...''
Les relations de Mariko était déjà complètement retourné à ce stade là, elle pouvait bien après avoir pris l’identité de Lily, prendre celle maintenant de Yoo Mi.
‘‘- … la gérante et moi, nous nous entendons bien alors quand j’ai du temps libre je lui donne un coup de main. Yoo Mi est quelqu’un de bien. Elle fait elle-même les produits ! C’est vraiment de la bonne qualité ! Si c’était pas une livraison, je vous en aurait fait essayer ! Doux avec la peau et vos économies, rendez-vous chez Rookie&Siko ! Hum .. a vrai dire, on cherche encore le jingle publicitaire … Cela aurait été plus simple si la boutique c’était appelé Rookie et non pas Rookie&Siko mais bon, ce qui est fait et fait. ’’
Par définition purement scientifique, le passé est passé. Il n'y avait pas à faire de démonstration sur ce fait.
‘‘- Mais si vous êtes pressé, madame-qui-n’est-pas-une-madame, je ne vais pas vous déranger plus longtemps !
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Spoiler:
Je ne sais pas si tu veux continuer au café du coin ou si tu veux un peu écourter vu le nombre de réponse que cela commence à faire, donc je te laisse faire ce crucial choix Que la force soit avec toi!
Itô Mariko
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Itô Mariko
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Issu de l'union d'une mère coréenne et d'un père japonais, Mariko est bilingue dans ses deux langues. Elle a vécu avec ses parents jusqu'à l'âge de 15 ans dans la ville de Nara. Tout à changé quand ses parents ont choisis de déménager dans une nouvelle ville. Mariko a eu du mal à s'intégrer et a été très longtemps la cible de brimade de ses camarades de classes. La haine a fini par prendre possession de son corps. Jour après jour, le même plan revenait dans sa tête. Jour après jour, elle rêvait de le mettre en exécution.
Le 15 octobre 2055, la Kenpai tower, symbole de sa nouvelle ville, a explosé sous l'effet d'explosif posé à l'extrémité des points d'encrages du bâtiment. Le bilan final de l'accident était de 140 morts et de 230 blessés. Parmi ses personnes, 200 étaient élèves dans le lycée de Mariko. Mariko étant mineur, le gouvernement japonais n'a pu révéler qui était l'auteur de l'attentat. Les autorités ne pouvait prendre des mesures contre elle du fait de son âge, l'ont envoyés sur l'île d'Aikoyangi. Elle a reçu là-bas le célèbre sérum.
A partir de ce moment, elle a cru être une nouvelle élève ayant bénéficier d'une bourse pour ses études. Tout à changer à la fin du mois de novembre 2056. Sa classe a eu une activité dans un laboratoire avec des produits ayant des propriétés explosifs. En les manipulants, Mariko s'est souvenu de nombreuses choses. Par son inattention, elle les a mélangé et a à créer une explosion au sein de sa salle. Il n'y a eu heureusement aucun blessé mais Mariko a été suspendu de l'établissement et de l'internat. Elle se retrouve aujourd'hui à la rue.
Si vous voulez soutenir l'économie de Kyul, passez donc dans sa petite boutique en plein coeur de Kona ! Située dans un petit local, cette boutique nommé en hommage à l'amitié qu'elle entretient avec son cousin 'Rookie&Siko' est remplie de tous les produits nécessaires à votre bien-être ! Si vous souhaitez des commandes plus obscures, merci de vous adresser par téléphone à la gérante.
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Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Mar 28 Nov - 19:58
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
Relevée, Hae Ri écouta Mariko lui expliquer pourquoi elle n’aimait pas la littérature. Riant doucement, elle secoua un peu la tête, un sourire aux lèvres : « Mais qu’est-ce qu’on a bien pu te faire lire pour que ça n’ait pas d’action… Enfin, il y en a beaucoup. Mais, si jamais tu as le courage un jour, tu pourras essayer de lire Cyrano de Bergerac de… Rostand ! C’est tellement dynamique que ça ne respecte pas les règles les plus importantes du théâtre français, c’est-à-dire ce qu’on appelle les "Trois T" ! » Se rendant compte qu’elle était partie dans son monde, la jeune professeure se mordit légèrement la lèvre inférieure, un petit sourire toujours aux lèvres lorsqu’elle reprit : « Je suis désolée, je suis encore partie en mode professeure… » Son attention fut à nouveau attirée sur le sac de cosmétiques alors que Mariko lui expliquait… Quelque chose. Hae Ri était honnêtement un peu perdue mais elle ne fit pas de commentaires, souriant de manière indulgente en secouant la tête lorsque la jeune fille prenait congé. « Non, j’ai fini ma journée, j’allais rentrer auprès de mes chats, rien de pressé ! Mais toi, tu dois l’être alors vas-y, cours ! Et sois prudente, à l’avenir… ! » Passant une dernière fois sa main sur les cheveux de Mariko, le sourire de la professeure se figea soudainement. Elle se souvenait. Elle se souvenait de cheveux noirs, raides mais volant avec le vent. Qu’elle tresse entre les cours. Des yeux qui pétillent, une douce voix, une main qui se tend vers la sienne, leurs doigts qui s’entrelacent. Elle se souvient du rire fort mais libre, indomptable de son amie. Non. Pas son amie. Plus, beaucoup plus. Mais personne ne doit savoir alors personne ne sait. Hae Ri tendit la main vers le mur le plus proche, s’y appuyant alors que les images continuaient de déferler. Elle se souvenait d’après-midis passées dans la chambre de l’une ou de l’autre, à regarder un film, un drama, à discuter, à lire. De goûters pris sur son lit, leurs genoux collés l’un à l’autre, en riant. De soirées passées l’une à côté de l’autre, allongées sur le lit de l’une d’entre elles, heureuses, leurs doigts toujours entrelacés, leurs lèvres se caressant lorsqu’elles se tournent vers l’autre. Ses yeux se rouvrirent alors qu’elle prenait une grande inspiration, brutale. Hae Ri sentait ses mains qui tremblaient, alors qu’elle tentait de s’accrocher à ces souvenirs. Mais ils refusaient de rester, ils s’enfuyaient et elle ne sut pas la suite, le goût de lèvres dont elle n’avait aucun souvenir, incrusté sur les siennes. Sans réfléchir, elle porta sa main à sa bouche, la touchant. Mais elle ne sentait rien de particulier. Et, étrangement, elle en ressentait une immense douleur et tristesse.
Comme promis, voici une réponse avec le souvenir de Riri qui ne fait pas de mal à Mariko Si jamais tu veux que je fasse avancer un peu plus à la fin, hésite pas à le dire, c'était une fin naturelle pour moi mais je peux bricoler autre chose sans problème, si ça peut t'aider
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Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Mer 20 Déc - 17:31
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
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Tenue Mariko avait vu Cyrano de Bergerac à l’époque où elle essayait encore d’être une élèves sérieuse au japon. Comment une élève japonaise s’était retrouvé à lire un classique de la littérature française, Mariko n'était pas sûre de s’en souvenir. A vrai dire, elle ne se souvenait que d’une seule chose de l’oeuvre qu’elle avait étudié : sa tirade sur le nez qui avait eu au moins le mérite d’avoir réussi à la perdre. D’habitude, c’était elle qui perdait son interlocuteur. Cette fois-ci, c’était une œuvre de la littérature qui avait réussi à la perdre. Un exploit pour l'adolescente indomptable.
Sans trop savoir quoi rajouter, la blonde la salua se sentant redevable pour sa gentillesse, et allait continuer son chemin seulement … la professeure devint soudainement pale prenant appuie sur le mur. Sans réfléchir Mariko fit demi-tour et se précipita vers la brune.
Elle semblait prise d’une attaque de panique, comme prise avec ses vieux démons. Mariko lui attrapa la main et l’appela en attendant quelle revienne dans le monde du commun des mortels.
‘‘- On dirait maintenant que vous avez besoin de mon aide maintenant, souffla Riko.’’
La jeune femme continuait à fixer un objet dans le flou lointain. Mariko n’était même pas sûre qu’elle arrive à voir cet objet, trop prise par ses pensées. Au fond, ce n’était pas important si elle le voyait ou pas cet objet, il fallait que la professeure de littérature revienne dans la réalité.
‘‘- Si vous voulez je vous invite à manger, ma cliente peut bien attendre vu le retard que j’ai pris maintenant. En plus, elle n’avait qu’à être plus sympathique !’’
Le regard de la jeune femme sembla reprendre de la vivacité. Peut être que le plus gros de sa crise était passé ? Riko réaffirma sa prise sur la main de la jeune femme inquiète. Il y avait à quelques pas un café qui avait l’air d’avoir de délicieux mets. Cela serait un bon moyen de rembourser la professeure, enfin une fois qu’elle irait mieux évidement.
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Le 15 octobre 2055, la Kenpai tower, symbole de sa nouvelle ville, a explosé sous l'effet d'explosif posé à l'extrémité des points d'encrages du bâtiment. Le bilan final de l'accident était de 140 morts et de 230 blessés. Parmi ses personnes, 200 étaient élèves dans le lycée de Mariko. Mariko étant mineur, le gouvernement japonais n'a pu révéler qui était l'auteur de l'attentat. Les autorités ne pouvait prendre des mesures contre elle du fait de son âge, l'ont envoyés sur l'île d'Aikoyangi. Elle a reçu là-bas le célèbre sérum.
A partir de ce moment, elle a cru être une nouvelle élève ayant bénéficier d'une bourse pour ses études. Tout à changer à la fin du mois de novembre 2056. Sa classe a eu une activité dans un laboratoire avec des produits ayant des propriétés explosifs. En les manipulants, Mariko s'est souvenu de nombreuses choses. Par son inattention, elle les a mélangé et a à créer une explosion au sein de sa salle. Il n'y a eu heureusement aucun blessé mais Mariko a été suspendu de l'établissement et de l'internat. Elle se retrouve aujourd'hui à la rue.
Si vous voulez soutenir l'économie de Kyul, passez donc dans sa petite boutique en plein coeur de Kona ! Située dans un petit local, cette boutique nommé en hommage à l'amitié qu'elle entretient avec son cousin 'Rookie&Siko' est remplie de tous les produits nécessaires à votre bien-être ! Si vous souhaitez des commandes plus obscures, merci de vous adresser par téléphone à la gérante.
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Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Dim 31 Déc - 12:18
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Hae Ri et Mariko allaient se séparer, chacune reprenant le chemin qui était normalement le sien lorsque la jeune professeure revécut ce qu’elle ne cessait de vivre, depuis quelques temps. Elle aurait aimé dire que ça n’était que des rêves éveillés, des hallucinations, mais elle savait très bien, au plus profond d’elle-même, que tout ce qu’elle revoyait était vrai. Qu’elle avait vécu ces évènements. Ils semblaient trop vrais. Mais elle ne comprenait pas, malgré tout, pourquoi elle ne se souvenait pas de ces souvenirs, pourquoi ils ne correspondaient pas à ce qu’elle était auparavant sûre d’avoir vécu. Car plus elle vivait ce genre d’évènements et moins elle était sûre de ce qu’elle avait vécu, de son passé. Alors elle s’accrochait au présent. A la belle Ah Yeon qui lui servait d’ancre, qui lui permettait de ne pas se perdre. Elles vivaient quelque chose de sûr, Hae Ri le sentait. Mais, maintenant, elle se demandait qui était cette femme qu’elle revoyait. Ces cheveux. Ce sourire. Elle avait encore l’impression de sentir la douceur de ces lèvres sur les siennes. Elle en aurait pleuré. Mais Mariko était là, Mariko qui lui parlait, qui lui posait des questions, sa voix avait pris une teinte inquiète et la jeune professeure s’accrocha à son bras doucement, juste assez pour reprendre pied dans le présent. « Ça va aller. J’ai juste besoin… De me poser un peu. M’asseoir un peu, je pense. Ça va aller, ne t’inquiète pas. C’est juste la fatigue et la chaleur. » Elle força un sourire, priant pour que la jeune fille ne lui pose pas trop de questions, qu’elle ne sente pas, n’entende pas, ne voie pas le mensonge. Hae Ri ne voulait pas lui mentir. Juste la protéger. Elle était tellement jeune… Elle méritait d’être protégée encore un peu, qu’on prenne soin d’elle. Elle avait déjà assez souffert, il n’était pas nécessaire qu’on lui rajoute un poids sur ses petites épaules. La professeure ne pouvait s’en empêchait, comme avec Min Sook, elle voulait la protéger, l’aider, parce qu’elle n’avait jamais été aidée, et qu’elle refusait de laisser tomber des personnes alors qu’elle pouvait les aider. S’appuyant contre le mur, Hae Ri lâcha Mariko et lui sourit à nouveau, sincèrement, cette fois : « Dis-moi, comment est ton frère ? Tu en as parlé, tout à l’heure, il a l’air d’être un type super ! Tu dois beaucoup l’aimer. » Hae Ri avait perdu le sien, elle. Sa moitié. Mais Mariko ne pouvait pas le savoir. Peut-être qu’un autre sujet aurait été plus intelligent, plus raisonnable, mais la plus âgée avait besoin de reprendre son souffle, de revenir dans le présent. Rien de mieux que de se concentrer sur une conversation, pour ça. « J’avais un frère, moi aussi. Un jumeau. Il y a très longtemps… » Elle souriait toujours, même si celui-ci avait pris une teinte plus nostalgique, plus triste. Si une chose restait bien constante, dans sa vie, c’était Hae Joon. Hae Joon et l’amour qu’elle lui portait, la tristesse qu’elle ressentait. Et ses regrets.
Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Dim 7 Jan - 15:23
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Tenue On lui demandait comment il était son frère. C’était une bonne question. Techniquement parlant, elle n’avait pas de frère. C’était Lily qui avait un frère, nuance ! Mariko avait quand à elle son incroyable et merveilleux cousin, l'unique MOON Min Sook bien éloigné de la personnalité de MAEDA Ryosuke sur d'innombrables aspects.
‘‘- Euh mon frère … ouais … euh … il me rappelle souvent un requin, mais parfois il me fait penser à un requin constipé et de mauvaise humeur, ce qui est pas forcément différent, vous allez me dire, mais je vous jure qu’il y a une différence. Il a … euh … ses yeux qui se dresse avec ses sourcils, l’air de vous dire que tout est fini. Quand il vous regarde comme ça, vous savez que c’était foutu, Jesus, Marie, Bouddha, Vishnu, vous allez tous les rejoindre pour une grande soirée crêpes et croque-monsieurs là-haut.’’
Mariko n’allait pas non plus se plaindre. Elle aimait bien les crêpes ET les croque-monsieurs. En enfaite, après réflexions, elle aimait bien tout ce qui se mangeait.
‘‘- Mais sinon il est sympa.’’
‘‘Sympa’’ était-il un mot susceptible de décrire MAEDA Ryosuke ? Pas sûr.
-‘‘ Vous auriez du prendre un petit-déjeuner plus consistant ce matin, non mais oh ! Et ne pas me donner ses croissants si vous aviez faim ! Dans la vie, il faut aussi se montrer égoïste sinon on ne s’en sort pas.’’
Mariko sortit un papier et un stylo de son sac pour y inscrire son numéro de téléphone dessus, avant de le glisser dans le sac de l'enseignante.
- Tenez. Et j’attend un compte-rendu tout les matins sur votre petit-déjeuner, m’dame. C’est pas sérieux tout ça !
Il y avait comme eut une inversion de rôle. La professeure pendant ce temps semblait reprendre toujours plus de couleur, ce qui était un bon signe. Elle semblait être sortie d’affaire à la plus grande joie de Mariko.
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Bonne année un poil en retard Réponse un peu courte et sans indication sur la suite. Je te fais confiance. Si cela ne te va pas, n’hésite pas à me le signaler
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Le 15 octobre 2055, la Kenpai tower, symbole de sa nouvelle ville, a explosé sous l'effet d'explosif posé à l'extrémité des points d'encrages du bâtiment. Le bilan final de l'accident était de 140 morts et de 230 blessés. Parmi ses personnes, 200 étaient élèves dans le lycée de Mariko. Mariko étant mineur, le gouvernement japonais n'a pu révéler qui était l'auteur de l'attentat. Les autorités ne pouvait prendre des mesures contre elle du fait de son âge, l'ont envoyés sur l'île d'Aikoyangi. Elle a reçu là-bas le célèbre sérum.
A partir de ce moment, elle a cru être une nouvelle élève ayant bénéficier d'une bourse pour ses études. Tout à changer à la fin du mois de novembre 2056. Sa classe a eu une activité dans un laboratoire avec des produits ayant des propriétés explosifs. En les manipulants, Mariko s'est souvenu de nombreuses choses. Par son inattention, elle les a mélangé et a à créer une explosion au sein de sa salle. Il n'y a eu heureusement aucun blessé mais Mariko a été suspendu de l'établissement et de l'internat. Elle se retrouve aujourd'hui à la rue.
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Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Dim 28 Jan - 17:45
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Hae Ri avait à nouveau revécu ce qu’elle vivait depuis quelques temps, elle ne savait même pas réellement ce qui lui arrivait, elle ne comprenait pas trop, mais elle était convaincue qu’il y avait un problème quelque part. Et que ces… « souvenirs » étaient la source du problème. Elle ne savait pas ce qu’il se passait cependant elle était déterminée, maintenant, à essayer de comprendre ce qui lui arrivait. Pour pouvoir maîtriser ces moments où elle n’allait pas bien, soudainement. Elle refusait de rester un poids pour ses proches et surtout pour des personnes comme Mariko, qui l’admiraient ou pouvaient chercher en elle un soutien, un modèle. Et si ça arrivait pendant un cours… ? Elle en était morte de trouille, elle refusait d’imposer ça à ses élèves. Déjà, là, elle regrettait que cet accident soit arrivé devant Mariko. Elle essayait de détourner l’attention, lui demandant de parler de son frère mais, très rapidement, la jeune fille lui fit la morale, lui reprochant de ne pas assez manger le matin et lui réclamant de la tenir au courant. Souriant, la jeune professeure lui caressa rapidement le crâne, à nouveau : « Promis, je te tiendrai au courant. Mais uniquement si tu me promets, toi aussi, de bien faire attention à toi. Tu as encore de beaux jours devant toi, ce serait dommage qu’un accident t’arrive maintenant… » Si son sourire se figea en se souvenant de ce qu’elle avait fait, il n’y a pas si longtemps que ça, Hae Ri fit comme si il ne s’était rien passé, comme si on ne pouvait pas lire sur son visage ses regrets. Encore maintenant, elle n’arrivait pas à savoir si elle avait réellement eu de la chance, en survivant à cette tentative de suicide. L’avantage est qu’elle pouvait continuer de vivre, qu’elle rencontrait des gens formidables. L’inconvénient est que Hae Joon est toujours aussi loin d’elle… Se sortant à nouveau de sa rêverie, Hae Ri récupéra ses affaires, souriant comme si de rien n’était : « Bon, on devrait peut-être se séparer. Tu as du travail et moi je vais rentrer manger et laisser mes chats me cajoler pendant tout le reste de la journée. Je t’enverrai un sms dans la journée alors tâche d’enregistrer mon numéro ! » Elle tendit la main vers le visage de Mariko mais s’arrêta avant de la toucher. Elle avait envie de prendre soin d’elle, mais elles ne se connaissaient pas encore assez bien alors… Elle allait attendre. Garder un œil sur elle, de loin, et s’assurer qu’il ne lui arrive rien. Elle tenait à ce qu’il ne lui arrive plus rien. « Prends bien soin de toi, Mariko. » souffla-t-elle avant de s’éloigner avec un sourire.
Ca me semblait être une fin logique...? Si jamais tu veux rallonger un peu, n'hésite pas à me le dire et je modifierai
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Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ? Ven 16 Fév - 22:56
Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
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Tenue La femme reprit progressivement des couleurs jusqu’à être de nouveau dans un état pouvant supposer que rien ne s’était passé. Aux yeux des passants qu’elle allait croiser au fil de sa journée, elle ne serait qu’une femme banale rentrant chez elle. De cette histoire, seule Mariko et elle sauraient la vérité. C’est pour cela que l'adolescente se devait d’être inquiète pour elle. La blonde était la seule à savoir la vérité ayant pris une forme secrète. Alors ce secret, elle le garderait précieusement. Cette femme et Mariko, comme un pacte conclu à la lueur des bougies, un soir de pleine lune, serait unie dans leur silence.
‘‘- Promis ! Souria la blonde. Faites aussi attention à vous !’’
La blonde sentit un main s’approcher de son visage et ferma par réflexe ses yeux avant de se rétracter. Cette femme ne lui voulait aucun mal, au contraire de ses idiots de lycéens japonais, se situant aujourd’hui six pieds sous terre. En ouvrant doucement ses paupières, elle découvrit le visage de la professeur hésitante, comme toujours prise dans ses songes. Elle eut un dernier souffle murmurant quelques mots avant de s’éloigner. Mariko cligna des mots avant de comprendre ce qu’elle venait de dire. Elle l’avait appeler Mariko et lui avait souhaiter de prendre soin d’elle. Visiblement, sa couverture de Maeda Lily a été souffler pendant leur discussion. La blonde haussa des épaules. Après tout, elle n’avait jamais été très bonne pour mentir. C’est de bonne humeur qu’elle tourna les talons et partit enfin livrer le contenu de sa poche en papier. Finalement, peut être qu’il y avait encore à avoir un peu d’espoir sur la gentillesse de la population de Kyul. Cette ville n’était peut être pas si horrible que ça. Après tout, il y’avait cette femme, son cousin, YooMi, Lily, d’autres gens sympas et surtout il y avait tout ses gens suffisamment idiot pour ne pas voir qui secouer l’île depuis maintenant des mois entiers.
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Fini de mon côté !
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Le 15 octobre 2055, la Kenpai tower, symbole de sa nouvelle ville, a explosé sous l'effet d'explosif posé à l'extrémité des points d'encrages du bâtiment. Le bilan final de l'accident était de 140 morts et de 230 blessés. Parmi ses personnes, 200 étaient élèves dans le lycée de Mariko. Mariko étant mineur, le gouvernement japonais n'a pu révéler qui était l'auteur de l'attentat. Les autorités ne pouvait prendre des mesures contre elle du fait de son âge, l'ont envoyés sur l'île d'Aikoyangi. Elle a reçu là-bas le célèbre sérum.
A partir de ce moment, elle a cru être une nouvelle élève ayant bénéficier d'une bourse pour ses études. Tout à changer à la fin du mois de novembre 2056. Sa classe a eu une activité dans un laboratoire avec des produits ayant des propriétés explosifs. En les manipulants, Mariko s'est souvenu de nombreuses choses. Par son inattention, elle les a mélangé et a à créer une explosion au sein de sa salle. Il n'y a eu heureusement aucun blessé mais Mariko a été suspendu de l'établissement et de l'internat. Elle se retrouve aujourd'hui à la rue.
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Memoria - Level 6
Sujet: Re: Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?
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Hum… désolé mais tu peux me relever, s'il te plait ?