C'est un jour de printemps que le petit Hikaru venait de naître, au chaud avec sa sœur jumelle Hinako. Mais très vite ils furent séparé par la mort prématuré de leur mère, et par le choix de leur père de garder que le jeune garçon, laissant donc Hinako seule à l'orphelinat.

Hikaru jouissait de tout et d'une éducation parfaite, aimant son père et ne sachant pas encore pour sa sœur. Ils habitaient une petite maison fortuné de campagne, avec un étage où se trouvait les chambres et une salle de bains. C'était un enfant aimable, poli avec de bonne manière jusqu'à ce que son père fût totalement désemparer face à la dette qu'il devait à des yakuzas...

Et un jour, c'est les yakuzas qui débarquèrent chez la petite famille. Détruisant tout sur le passage, amochant le père et prenant l'argent qu'ils trouvaient. Le pauvre Hikaru, ayant alors 4 ans, jouant dans sa chambre se fit immobiliser et amener en bas, dans le salon avec son père amoché de partout. Et pour essuyer ses dettes, le père désemparé donna son fils en échange. Hikaru ne comprenait pas bien encore le pourquoi du comment, ni même ce qui se passait à cette époque-là. Et sans rechigner il les suivit car ce fût le dernier ordre de son père.

Une nouvelle famille, une nouvelle vie...Vous vous dîtes que comme toutes histoires le petit Hikaru va être le Mr Mousse du capitaine crochet ? Eh ben pas tout à fait....Enfin même on en est très loin ! « Et le dark dans tout ça ? » Patience mon enfant, ça arrive. Donc comme je le disais pour Hikaru, ce fût une nouvelle vie et une nouvelle famille qui l'attendait. Le Chef l'avait « adopter » diront nous comme si un fils était pas suffisant...Enfin il aimait bien ce petit qu'il voyait très prometteur dans l'avenir. Et Hikaru changea donc de nom de famille pour le nom de son nouveau père. Son père et lui s'entendaient très bien voir même complice.

Et Hikaru était un vrai enfant prometteur, se battant déjà et remportant des duels à l'école contre les autres....Avec des punitions évidemment car Hikaru ne connaissait pas les limites à l'époque. Il avait même casser le bras d'un de ses camarades de classes en début primaire....Et sans scrupule que même les maîtresses évitaient de le mettre en colère ou de le contrarier. Il avait donc sa place de numéro 1 et une réputation plutôt grandissante.

Pour ce qui est de sa relation avec son frère, disons que son demi-frère l'aime énormément et essaye plusieurs approches mais Hikaru, déjà un beau connard faut l'avouer, le repoussa à chaque fois, ne voulant pas d' « une chose dérangeante qui fais semblant de prendre soin de lui. » Mais c'était comme parler à un mur, son demi-frère revenant alors à la charge à chaque fois pour que le même schéma recommence. Mais peut-être qu'au fond Hikaru l'aimait bien ? Qui sait ?

Arrivé au collège, Hikaru avait déjà une sacré réputation en tant que délinquant et fils de yakuzas. Si bien que personne osaient vraiment l'approcher. Et puis avec la réputation de son grand-frère sur le dos, normal que personne osent traîner où croiser la furie d'un Onigashima. Ils étaient tout les deux reconnus par tout les délinquants comme les numéro 1 et vu l’entraînement à la dure qu'ils avaient suivis aussi, normal. Et son quotidien se résumait à jouer à tabasser les plus faible que lui ou ceux qui le regardait d'un mauvais œil. Il adorait jouer avec ses souffres-douleurs attitrés. Il persécuté les professeurs, menacer les surveillants et profiter aussi des jeunes filles. Bref tout ce qu'un gros connard fais dans sa vie quoi.

Il était devenue très imbu de lui-même avec le temps et sans scrupule. De toute façon on lui avait répété très souvent depuis son enfance : «L'amitié....Laisse moi rire ! Tu n'en as pas besoin et puis des amis ne servent que leur intérêt...Dès que tu leur sers plus ils te trahissent voilà leur utilité et ton pire ennemie. Sers-toi des autres autant qu'ils se servent de toi et garde toujours un atout on ne sait jamais. » Il appliquai vraiment cette méthode et ce fût pour ça qu'il ne se fit jamais choper pour violence, viol et traumatisme.

Il avait déjà appris à manipuler ses camarades pour qu'ils se taisent pour toujours. Même les jeunes filles qui se faisaient violer au moins une fois par semaine ne parlaient même pas de leur traumatisme. C'était donc comme on pouvait l'imaginer un connard fini suivit d'un salaud.

D'ailleurs ce fût un matin qu'il renversa une jeune fille lui ressemblant trait pour trait, elle aussi était étonnée d'ailleurs. C'était comme un rêve. Il s'excusa et leva la jeune fille avant de lui demander son nom. « Hinako Nakayama... » Elle était orpheline apparemment. Il envoya des hommes pour comprendre d'où cette ressemblance venait...Il ne comprenait pas le pourquoi ça lui faisait chaud dans la poitrine, pas chaud comme de l'amour hein ? Mais chaud comme si il retrouvait un fragment de lui en elle, comme si elle était une pièce manquante.

Et il sut alors des jours de fouilles plus tard de la bouche de son père que cette fille est bien du même sang que lui...Une jumelle si belle et si forte pour pratiquer autant d'arts martiaux... Cette fois-là il avait réagit beaucoup trop fortement aux avances encore chiantes de son frère qui voulait se faire reconnaître par lui,  et sa réponse fût de lui donner une belle pigne dans l'oeil. Il l'avait cherché.

Et depuis sa rencontre en sixième avec sa sœur, il n'avait pas arrêter de lui envoyer des lettres anonymes et de l'argent pour qu'elle puissent vivre sans trop manquer de rien. Il se sentait coupable qu'elle ait dû grandir sans famille alors que lui était pleins aux as. Et en cinquième tout parti en sucette. Et oui je suis polie en racontant son histoire. Après pleins de correspondances avec sa sœur, il n'y avait aucun changement chez Hikaru....Toujours le même connard, il avait juste réussi à donner de l'amour à sa sœur qu'il considérait comme son égal. Donner de l'amour à son grand-frère ? Et puis quoi encore ? Il arrêtait pas de le harceler pour qu'il l'appelle Nii-chan... Vous voyez un connard fini sortir Nii-chan de sa bouche ? Non ? Ben voilà, il refusait toujours ça et encore plus d'aimer qui que ce soit. Tout le monde était ses pions sur son échiquier et personne ne pourrait le contrôler.

D'ailleurs, il commença déjà à s’intéresser beaucoup trop au plaisirs du sexe. Oui oui à 12 ans il est précoce le petit. Et il multiplia alors les coups de quelques minutes que les filles soient consentantes ou non...Il s'en branlait tellement de leur avis, elles lui résistaient ? Il les frappait tellement fort qu'elles recommencèrent plus à s'opposer à lui. Il avait tout ce qu'il veut alors bon il s'en privait pas. Jusqu'au jour où l'une d'elle a commencé à un peu trop la ramener auprès de lui en lui faisant la morale....L'énervant encore plus que ce qu'il était de base...En plus cette fille avait une putain de voix criarde chiante...Bordel...Insupportable. Il avait commencé par lui prendre les cheveux tellement fort qu'il lui en arracha pas mal au passage avant de la jeter contre les lavabos des chiottes. Sa tête avait bien cogner et elle était un peu sonner... Mais il en resta pas là. Il commençait à peine à s'amuser à un de ses jeux favoris, pourquoi s'arrêter. Il l'attacha bien contre la tuyauterie, et lui coupa les cheveux mèche par mèche, souriant de son jeux. Et encore elle avait rien vu, si elle pleurait pour ça alors la suite va l'achever -Jeuxdemots-. Et elle pleurait et pleurait qu'il commença alors par la faire encore plus pleurer, la blessant un peu partout et surtout aux jambes. Et il déchira aussi ses vêtements en lambeaux. C'était plus simple pour la blesser et la faire pleurer.

Et puis la, le drame ! Elle lui cassait tellement les oreilles à pas changer de registre que ça l'avait ennuyé et qu'il ne trouvait plus aucun plaisir...Mais dans un élan de folie, il lui cria de se taire et lui enfonça les ciseaux dans l’œil droit. Désormais elle pleurerait du sang. Puis il le retira et réitéra son action dans l’œil gauche, avant de lui enfoncé dans tout son torse par la suite. Et ce fût ainsi qu'il termina son crime, dans la folie la plus totale en se prenant pour un être supérieur qui avait le droit de vie ou de mort sur ses pions.

C'est son frère qui le dénonça alors à la police, ne pouvant imaginer à quel point son jeune frère qu'il aimait tant avait sombré dans une folie pur et simple.

Amener de force par la police. Le jeune Hikaru, torturé par sa folie et l'amour qu'il vouait à sa sœur, fût directement envoyé sur Aikoyangi sans le savoir, et il fût alors enfermé dans une salle blanche, lui rappelant sa cellule psychiatrique de quelques jours. Il poussait des jurons, menaçait de mort tout ceux qu'il vit. Mais quand on lui dit que la piqûre allait l'apaiser....Alors étrangement il se calma...Et demanda alors les larmes aux yeux : « Est-ce que ça me permettra de la revoir ? » Et la réponse fût positive de la part du personnel avant de lui injecté le sérum qui lui permettrait de tout oublier de son crime...

De notre époque, Hikaru a 15 ans. Cela fait 3 ans qu'il est venu à Aikoyangi pour une affaire familiale. Et oui être fils de Yakuza c'est aussi régler des affaires loin du pays. Enfin là son père l'avait envoyer ici pour perfectionner les relations avec les clients etc...Enfin il a plus voulu l'envoyer ailleurs qu'autre chose surtout et ça Hikaru ça contre fiche pas mal. Bien sûr il est au lycée, avec des notes moyennes même si il sèche beaucoup.

Toujours aussi aimable et poli, il n'hésite pas à se bagarrer avec le premier qui le défis. Et puis on se refait pas mais sa soif de sexe est toujours présente, c'est un homme après tout et tant qu'il fait ça avec des gens qui sont consentants...Où est le soucis ? C'est pas comme si il allait violer le premier venu aussi, il avait des principes encore.

Mais ce que peu de gens savent c'est qu'il ne reste jamais travailler au même endroit et change souvent de métier, pouvant être caissier jusqu'à postier voir strip-teaseur des fois. Oui oui il touche un peu à tout, car rester dans le même métier pour lui est d'un ennui...Il préfère découvrir et avoir du piquant dans sa vie que cloîtrer dans un ennui à vie.

Mais ce qu'il aime le plus, c'est son fameux perroquet. Mr Propre qu'il l'appelle, pourquoi ? Ben parce que ce perroquet est un maniaque de la propreté et casse les bonbons en répétant « Nettoie ! Nettoie ! » à chaque fois que Hikaru ne fais rien. Mais il met de l'animation dans la grande maison vide de vie au moins et Hikaru s'amuse souvent avec lui. Il discute aussi avec d'ailleurs, c'est un perroquet qui a la parlote facile mais qui est aussi agréable que son propriétaire.

En vrai il aime encore plus Mirako Yuta dont il a tout ses cds, posters, goodies et autres bric à brac. Et oui sa musique le fascine et il le trouve bel homme aussi. C'est aussi lui en arrivant sur Aikoyangi qui l'a aidé d'une certaine façon à trouver son nouveau chez lui, vu qu'il n'avait jamais mis les pieds à Aikoyangi auparavant et qu'il refusait de demander de l'aide, têtu comme il l'est.